UNE LIGNE, DEUX VIES
Tout commence à Marseille pendant nos années d'école : une amitié, deux passions et un univers commun nous unissent.
A la fin de nos études, l'envie de créer quelque chose qui a du sens et d'agir pour l'environnement s'ancre en nous.
Et, c'est en alliant nos deux passions - le tennis et la mode - avec l'objectif de réduire au maximum notre impact sur l'environnement que ligne est née !
Fabrication française, matières recyclées ou bio-sourcées, produits techniques pour le sport, silhouettes travaillées et tenues élégantes : les bases de notre projet étant posées nous pouvions nous lancer !
Presque deux ans plus tard, nous avons lancé la première marque de vêtements de tennis entièrement Made In France & éco-responsables à porter sur et hors des courts !

Marianne MORTIER – co fondatrice & Présidente
J'ai eu un coup de foudre pour le tennis lors d'un match de Rafael Nadal à Monte-Carlo. Et, j'ai depuis développé une vraie histoire d'amour avec ce sport.
Mais à force de trainer sur et au bord des courts, je me suis rendue compte de deux choses. Je trouvais que la tenue de tennis avait perdu de son élégance au fil du temps. Et je ne trouvais pas de marques qui proposent des vêtements adaptés au tennis qui soient produits localement et de manière durable.
Or, voyant que le textile et plus particulièrement le sportswear avait un impact considérable sur l'environnement, j'ai ressenti le besoin de faire quelque chose et d'agir à mon échelle.
L'idée de Ligne est née !

Cécile NIN – Co-fondatrice & Directrice Générale
J'ai grandi dans une famille d'entrepreneurs textile qui m'ont transmis ces passions pour l'entreprenariat et la mode. Les coutures zig zag et les tissus tout doux, c'est ça mon truc !
Quand j'ai pris conscience de l'impact négatif de l'industrie textile sur notre Planète, j'ai eu envie d'agir à travers un projet qui a du sens et qui me ressemble !
Et, en me penchant sur la question, je me suis rendue compte qu'une mode plus responsable était possible !
En produisant localement et en innovant sur des matières plus durables, je me suis dit qu'on pouvait déjà faire quelque chose à notre échelle !